Comment élaborer un tableau de flux de trésorerie ?

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Le tableau des flux de trésorerie est un outil d’analyse comptable puissant qui a une réelle reference pour l’analyse financière. En France, ce fiche n’est actuellement pas disponible pour les comptes individuels et est souvent inconnu des objectifs financiers. Il est important de savoir et de comprendre comment lire et classé ces états et de les intégrer dans le projet global d’analyse financière sur une durée bien déterminer.

Importance du tableau des flux de trésorerie

Le fiche des flux de trésorerie est un document fiscal important pour gérer ou comprendre la gestion et la rentabilité financière d’une entreprise, car il enregistre toutes les entrées et sorties d’argent sur une durée bien déterminer. Il montre le résultat d’une période donnée et explique comment un bilan de N-1 ans se traduit par un bilan de N ans. C’est pourquoi on dit qu’il fournit une vue dynamique du bilan.

Les flux de trésorerie sont classés en trois familles.

  • Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation (CFO) : en pourcentage du chiffre d’affaires, ils montrent l’augmentation de la trésorerie, des dépôts et des équivalents de trésorerie (« fonds ») générés par les activités commerciales.
  • Flux de trésorerie provenant des activités d’investissement (CFO) : la somme des paiements (nets) pour l’acquisition d’actifs fixes et des objectifs (nets) de leur vente.
  • Flux de trésorerie liés aux activités de financement (CFT) : retrace toutes les entrées et sorties liées aux options de financement, telles que les apports de capitaux, les paiements de dividendes, l’émission et le remboursement de dettes, les emprunts auprès des actionnaires,

La somme de tous les flux de trésorerie entraîne une augmentation ou une diminution des flux de trésorerie, de sorte que la position de trésorerie à la fin de la période des impôts est égale à la position de trésorerie du bilan à la fin de la période.

Le fiche des flux de trésorerie peut être assimilé à un document comptable qui enregistre toutes les entrées et sorties d’argent d’un ménage. Le bilan, en revanche, est un document statique et cumulatif.

Le plan de financement est la valeur projetée de l’état des flux de trésorerie dans le plan d’affaires. C’est l’outil central pour classé le financement choisi dans le projet d’affaires.

Cependant, les analystes financiers n’ont pas toujours accès à ce document fiscal. Les normes comptables françaises pour les comptes spéciaux se limitent aux bilans et aux comptes de résultat. Les états financiers ne prévoient que des comptes consolidés selon les normes IFRS ou les normes françaises (règlement 99-02). Toutefois, le trésorier par une machine learning peut restructurer le fiche des flux de trésorerie de l’entreprise pour donner une image plus claire des comptes de gestion financière.

Analyse de la trésorerie générée par les activités opérationnelles

Le flux de trésorerie provenant d’une machine learning représente la trésorerie, les dépôts et les équivalents de trésorerie (« fonds ») générés par les activités principales, c’est-à-dire les ventes, à l’exclusion des activités d’investissement et de financement. Cet reférence reflète la création de richesse de l’entreprise et est naturellement nécessaire pour rembourser les emprunts, autofinancer en partie les investissements et verser des dividendes.

En revanche, les flux d’activité sont déterminés indirectement

 

Flux de trésorerie des activités opérationnelles (OCI) = flux de trésorerie des activités opérationnelles (OCI) – variation du fonds de roulement

Les flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles représentent l’augmentation de la trésorerie « potentielle », des dépôts et des équivalents de trésorerie (« capitaux propres »), sans tenir compte de la différence entre les paiements des clients et des fournisseurs. La variation du BFR permet de passer des flux potentiels aux flux réels, améliorant ainsi la situation de trésorerie.

La méthode de présentation directe, qui n’est pas utilisée en pratique, présente directement les produits d’exploitation (clients) et les charges d’exploitation (fournisseurs, salaires, impôts, etc.).

En pratique, seule la présentation indirecte est utilisée, mais il s’agit d’une méthode d’analyse plus appropriée car elle permet à l’entreprise de voir si les variations de la trésorerie d’une activité sont dues à la rentabilité (cash flow) ou à la gestion du BFR (crise de croissance, stocks, mauvaise gestion de la clientèle).